Quand Jésus parle d’ »eau vive » à la Samaritaine, il ne parle pas d’une eau extérieure, mais d’une source intérieure. L’eau vive est ce qui coule en nous lorsque nous cessons de nous fermer. Elle ne s’accumule pas comme une réserve, elle circule, elle rafraîchit, elle renouvelle.
Cette eau ne vient pas d’ailleurs : elle était déjà là, cachée sous les couches de peurs et de conditionnements. Il suffit d’un mot, d’un silence, d’un regard, pour qu’elle jaillisse à nouveau.
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